Je ne sais plus comment j’ai eu ce livre, mais je sais que je l’avais déjà lu en mai 2021. En quasiment 3 ans j’ai eu le temps de tout oublier, mais ma note ne change pas, juste les détails de mon avis. 💁🏼♀️
👩🏻🤝👩🏼
Positif :
🚶🏼♀️ Les illustrations font bien écho au texte (parfois un peu trop avec l’accident au début).
🚶🏼♀️ On retrouve les notions de bonté chrétienne propres à l’époque.
🚶🏼♀️ Les mères sont toujours aussi agréables.
🚶🏼♀️ Les petites histoires me semblent plus agréables que celles des malheurs de Sophie.
🚶🏼♀️ L’histoire du vin bu non pas par Sophie (qui se fait rudement fouetter) mais par une autre fille et que Sophie prie la mère de la fille de ne pas la fouetter parce qu’elle sait bien combien c’est rude, et donc lui pardonne, ça fait plaisir de la voir dans le bon sens.
🚶🏼♀️ On vois une belle évolution de Sophie, avec le temps, pas brusquement.
🚶🏼♀️ On sent que l’auteure veut lutter contre la punition du fouet, qui visiblement selon elle n’est déjà pas la bonne méthode, sachant qu’elle était encore pratiquée il y a 50 ans.
👩🏻🤝👩🏼
Négatif :
🏃🏻♀️ Je trouve l’accident du début un peu rude à lire à des enfants.
🏃🏻♀️ La belle-mère de Sophie est toujours aussi rude dans ses punitions, tandis que Sophie elle est trop capricieuse.
🏃🏻♀️ J’ai toujours du mal avec les coups de fouets et « un bon coup de poing ».
🏃🏻♀️ Il y a des choses qui font sourciller, notamment donner du vin aux enfants de moins de 10 ans ou le médecin qui tente de ranimer d’une noyade pendant 2 heures, ou encore le manque de force et de courage pour qu’une femme sois bouchère sans un mari (et qui bienheureuse meurt pour le retrouver une fois sa fille mariée).
👩🏻🤝👩🏼
Conclusion :
Bien sûr, tous les points négatifs viennent du contexte d’écriture du roman, mais pour moi ça reste à prendre en compte dans mon expérience de lecture. Je tiens cependant à louer l’engagement de l’auteure pour une éducation plus douce, bien avant que ça ne soit la norme. J’ai donc laissé mon 13/20 de la lecture précédente. 🤷🏼♀️
La curiosivore 